Le web3. Vous avez sans doute vu fleurir ce terme sur des blogs de geeks, dans des articles de presse, dans des discussions pros et persos… Même la très sérieuse Harvard Business Review s’intéresse à sa définition.
Encore un concept marketing ? Pas vraiment. A la base, le terme est très politique. C’est en 2014 que le mot émerge sur un article de blog de Gavin Wood. Il est l’un des fondateurs de la célèbre cryptomonnaie Ethereum (deuxième plus grosse capitalisation derrière le Bitcoin). Le développeur répond directement aux révélations d’Edward Snowden -sur la surveillance globale de nos “alliés” américains- qui ont commencé un an plus tôt. Wood l’appel d’ailleurs aussi le web “post-Snowden”. Il théorise un système avec “un registre public pour les informations publiques”, et dans lequel les infos privées ne sont jamais révélées. Car “aucun gouvernement ou organisation ne peut raisonnablement être digne de confiance”, écrit-il.
Le Bitcoin, lui aussi, répondait à un besoin politique de désintermédiation après le krach boursier de 2008. Son mystérieux fondateur, Satoshi Nakamoto, écrit que son “coin” serait “une version purement « peer-to-peer » de la monnaie électronique (…) sans passer par une institution financière”. Il fait sa profession de foi dans son whitepaper (sorte de manifeste pour les projets cryptos), qui date d’octobre 2008, soit un mois après la faillite de Lehman Brothers.
Web3 pour Cryptos, NFT, métaverses
Aujourd’hui, on regroupe communément sous le terme web3 : les cryptomonnaies, les NFT et les métaverses. Soit : des nouvelles monnaies, de nouveaux objets et de nouveaux espaces. Les NFT sont des objets numériques dont le titre de propriété est enregistré dans une blockchain. Et les métaverses sont des espaces virtuels, plus ou moins calqués sur le monde réel, où les interactions et les échanges s’effectuent via des cryptomonnaies et des NFT.
A mesure qu’il se répand, le web3 s’éloigne de son idéal de décentralisation pour constituer des opportunités business pour des entreprises. Par exemple, des acteurs prennent le contrôle sur les échanges de crypto (comme Binance ou crypto.com) sur les NFT (avec Open Sea) et sur les métaverses (avec Meta). Au 13 novembre, l’ensemble du marché crypto pesaient 819 milliards de dollars de capitalisation pour un volume quotidien de 55 milliards. Et en 2020, l’Université de Cambridge estimait à 101 millions le nombre de détenteurs de cryptomonnaies dans le monde.
“C’est un monde d’homme” pourrait se lamenter James Brown à propos du numérique, si les nouvelles technologies existaient déjà dans les années 1960. En 2017, les femmes dans le numérique ne représentaient que 23% des postes, alors que le sexe féminin compte pour 42% de l’ensemble des cadres (Insee). Aujourd’hui, la part des femmes dans le numérique aurait un peu augmenté, à 30%… Pourtant, le secteur est porteur : entre 2009 et 2020, 179 000 postes ont été créés (Talents du numérique*).
Plus surprenant encore, dans des pans du numérique en apparence plus ouverts, comme l’entrepreneuriat, la part des femmes plafonne encore plus bas. En France, seules 5 % des startups fondées depuis 2008 compte une équipe 100 % féminine, et 10 % une équipe mixte (SISTA/Boston Consulting Group, 2019).
Des femmes pionnières dans le numérique
Pourtant, au début du XXe siècle, les femmes ont joué un grand rôle dans l’évolution des technologies informatiques. Ada Lovelace a créé le premier algorithme exécuté par ordinateur. Grace Hopper a conçu avant les autres un compilateur pour la programmation du langage. En outre, Harvard Computers, un groupe de femme mathématiciennes qui travaillait pour la NASA est parvenu à des découvertes majeures en astronomie.
A cette époque, les femmes faisaient jeu égal avec les hommes. Mais au fil des décennies, lorsque le métier a pris de la valeur, les hommes ont conquis la majorité des postes.
Heureusement, des initiatives existent pour inverser la tendance. Chloé Hermary, par exemple, a créé Ada tech school -en hommage à Ada Lovelace-, un système d’éducation alternatif ouvert aux femmes. Le groupe Femme@numérique a pour objectif la féminisation des filières des métiers numériques. Delphine Remy-Boutang, entrepreneure et business angel, a fondé la JFD, Journée de la Femme Digitale, tous les 17 avril, et créé la fondation Margaret, inspirée de Margaret Hamilton, codeuse et développeuse de logiciels de la NASA, qui offre chaque année un prix à des femmes entrepreneures.
Des initiatives qui devraient permettre de résoudre ce paradoxe, relevé dans l’étude Sista/BCG. En France, les startups féminines ont 30 % de moins de chance de trouver des financement parmi les principaux fonds de capital-risque. Pourtant, elles rapportent 2,5 fois plus.
Vous restez chez vous… ou vous arrivez à l’heure qui vous arrange. Surtout, vous partez tôt. Et vous profitez de tout un tas de “collègues” -que vous avez choisis- prêts à vous refiler du boulot et à vous aider. A bien des aspects, les collectifs de travailleurs freelances et indépendants cochent beaucoup de cases d’une nouvelle utopie du travail. Un cadre d’entreprise auquel on aurait ajouté la liberté.
Les collectifs de freelances multiplient les chances de trouver une mission puisque chaque indépendant amène son réseau de prospects. Les leads sont aussi plus faciles à convaincre s’ils recherchent une prestation protéiforme : copywriting et développement de sites web, UX design et developpement d’application… En clair, les freelances travaillent en synergie et proposent une palette d’atouts étendue, flexible, recomposable…
Les collectifs résolvent aussi un paradoxe du free-lance : se spécialiser pour trouver plus de clients mais, en même temps, se fermer à beaucoup de prospects puisqu’on ne peut pas répondre à tout. groupés ensemble, les freelances concurrencent ainsi les agences de marketing multicompétences… pour des coûts souvent bien inférieurs.
Les collectifs de freelances, une protection
Et puis, la vie de freelance est belle parce qu’imprévisible. Mais elle peut parfois faire souffrir. Des coups durs peuvent abîmer la santé mentale du freelance. Contrat raté, attente interminable et stressante de clients, ou clients qui ne payent pas…Quel freelance ne s’est jamais pris une “carotte” ?
Ensemble les freelance sont plus forts. A plusieurs, c’est plus facile d’entamer d’éventuelles procédures ou de faire intervenir une tierce personne. Et les mauvais payeurs ont toujours plus de mal à s’en prendre à un collectif qu’à une personne isolée. Les collectifs les plus organisés ont même créé une caisse commune pour financer un avocat.
L’usage du Collectif passe dans les habitudes. Un site comme Collective vend uniquement aux sociétés collectif entier. Et le célèbre Maltpropose aussi des pages dédiées aux freelances en groupe.
Bon nombre de personnes négligent une des étapes clé dans la création de leur entreprise, et oublient l’importance d’être identifié grâce à un logo.
Pourtant, nous ne manquerons pas de vous dire que c’est IN-DIS-PEN-SABLE ! Avant toute chose, il est important en communication de bien cerner ses besoins, afin d’atteindre ses objectifs. Ainsi, via cet article, on espère vous convaincre de l’importance d’une bonne identité visuelle pour votre enseigne.
L’importance d’un logo
Aujourd’hui, un logo est un élément essentiel pour votre entreprise. Autrement dit, il est difficile de faire sans. Un logo c’est synonyme de première impression, de prise de contact, de confiance, autant de mots qui créent une interaction avec vos clients et prospects. Dans un contexte social en pleine transition numérique, l’image est plus importante que jamais, et si vous voulez marquer et être remarquer, il vaut mieux employer les bonnes stratégies.
Saviez-vous que : « 73% des français sont équipés d’un smartphone et que 59% sont inscrits sur les réseaux sociaux. »
On ne parlera pas de votre présence sur internet aujourd’hui. J’y reviendrai dans un autre article. C’est à s’imaginer que l’on a un support de communication déjà présent dans toutes les poches. Prendre le temps de créer un logo, vous permet d’afficher votre image, votre référence au grand public. Là où je veux en venir, c’est qu’une identité visuelle qui a du chien et bien ça se remarque vite, tant derrière un écran que sur une devanture de boutique.
L’identité visuelle de votre entreprise, c’est votre univers, l’atout essentiel de votre communication. C’est elle qui vous guidera et vous aidera à bâtir une notoriété et un sentiment de confiance autour de votre entreprise.
Ainsi, un logo est un outil primordial pour associer des valeurs et des émotions autour de votre marque. Je suis consciente d’avoir bien insister ô combien créer un logo est une étape importante, mais une fois cela compris, il faut passer à l’action.
Avant toute chose, si vous souhaitez avoir un logo, il faut que vous identifiez vos besoins de communication, de manière à pouvoir les partager avec votre graphiste, qui n’aura plus qu’à s’occuper du reste.
Bien cibler ses besoins avant la création
Un logo ça ne se fait pas sur un coup de tête, c’est un investissement pérenne. Bien avant de passer à la création, il est primordial que le concept de votre entreprise soit solide, si ce n’est pas clair pour vous, cela ne le sera pas pour vos clients. Vous savez où vous allez et vous avez déjà une idée des objectifs que vous voulez atteindre. Nous avons identifié 5 objectifs qui pourrez vous permettre de cibler les besoins de votre entreprise, de façon à faciliter la mise en relation avec votre graphiste et la création de votre logo.
– J’ai besoin… que l’on se souvienne de mon entreprise
Votre logo, c’est certainement la première chose que vos clients vont voir. Une bonne impression est essentielle, c’est de cette manière que les clients vont faire confiance à vos produits et services. D’ailleurs les logos créatifs ont souvent tendance a créer un effet plus marqué. Surprendre et impacter sont les maîtres mots si vous souhaitez rester dans les mémoires.
– J’ai besoin… de me différencier des concurrents
Votre identité visuelle est votre valeur ajoutée sur le marché. C’est ce qui va vous différencier de vos concurrents. C’est pourquoi, il est important de bien connaitre le marché dans lequel vous vous situez, afin d’éviter un logo qui a de fortes ressemblances avec vos adversaires. Mieux vaut éviter les confusions, qui pourraient être plus qu’inefficaces.
– J’ai besoin… de communiquer les valeurs de mon entreprise
Pensez à 3 mots qui pourraient définir votre offre et votre entreprise, de manière la plus juste et précise. Une fois ces 3 mots traduis visuellement par votre graphiste, votre logo indiquera d’emblée le caractère de votre société. C’est pourquoi, étoffer son image grâce à la création d’un logo va améliorer votre démarche commerciale.
« C’est en parti par l’identification d’un de ses besoins, que le graphiste pourra se concentrer sur l’impact du visuelle auprès des clients et prospects. »
– J’ai besoin… de faire une bonne première impression et d’attirer de nouveaux clients
À présent que votre logo est en adéquation avec vos valeurs, il faut faire en sorte que la première impression soit la bonne. Tous les jours vous reconnaissez certaines marques seulement à l’aide de leurs logos et codes couleurs. La première impression doit être percutante, visuelle et sensée. Ainsi, l’impression que ressentiront vos futurs clients, pourra les influencer positivement sur votre entreprise. Le système du bouche-à-oreille peut alors s’enclencher.
– J’ai besoin… de valoriser mon offre
Un logo professionnel peut améliorer l’image de votre entreprise, ou de vos produits. Une création de logo réussie vous permettra ainsi de contrôler votre image et votre réputation et sera vecteur de reconnaissance auprès de vos clients. Si votre logo n’est pas de qualité, que risqueraient de penser vos prospects ?
Je vous vois venir ! « Ok, mais j’ai ces 6 besoins ». En effet, mais si vous approfondissez un peu le sujet, il y a certainement 1 ou 2 objectifs qui ressortent plus que les autres. C’est en parti par l’identification d’un de ses besoins, que le graphiste pourra se concentrer sur l’impact du visuel auprès des clients et prospects.
Processus de création d’un logo
Désormais, vous avez établi vos besoins, on vous explique les différentes étapes de la création. Une fois l’échange et la prise d’information effectués, la création d’un logo commence par un important travail de recherche. L’étape de la recherche consiste à établir un « moodboard » autrement dit tableau d’inspiration. Cela va correspondre à l’univers qui va représenter votre marque, tant les couleurs ou les typographies, que le style graphique.
Ensuite, on passe à l’étape croquis. On gribouille toutes les premières idées qui nous viennent à l’esprit. Cette étape est nécessaire pour éviter la ressemblance ou la confusion avec d’autres logos. Et c’est aussi ce qui va permettre de sélectionner les meilleurs pistes à développer.
Dès qu’un certains nombres de pistes sont retenues par votre graphiste, celui-ci peut pousser les axes de créations jusqu’à l’obtention de logos. C’est seulement après la phase de recherche, que le logo commence à prendre forme. L’univers de l’entreprise tend alors à s’exprimer. Typographies, couleurs, pictogrammes, et autres éléments visuels s’assemblent pour créer votre logo.
« La carte de visite, c’est indispensable peu importe le cas. »
À présent, place à l’affinage ! Une fois que votre graphiste vous aura communiqué ses choix de logos, c’est le moment d’échanger. Un peu comme la première prise de contact, l’échange doit être efficace et sans ambiguïté. Les deux partis doivent pouvoir communiquer, dans l’intérêt des retouches du logo sélectionné.
Pour finir, on arrive à la fin du processus. Logo peaufiné, il ne reste plus qu’à décider des supports de communication et passer à l’imprimerie. Il faut dire qu’il y a le choix, et celui-ci peut être fait en fonction de vos besoins. La carte de visite, c’est indispensable peu importe le cas. Mais vous pourriez aussi avoir la nécessité d’un pack papeterie pour votre communication en interne, et pourquoi pas de goodies personnalisés, de signalétique et autres supports que votre entreprise est susceptible d’exploiter. Pour finir, j’ajouterai qu’il est très commun de fournir une petite charte graphique qui réunira toutes les règles d’utilisations de votre logo. Cela peut être très utile si vous avez à faire à d’autres prestataires.
Conclusion
Vous l’aurez compris, un logo bien réalisé est le résultat d’un travail d’analyse, de recherche, et de connaissances graphiques, de la première étape à la dernière. On distingue un logo réussi lorsqu’il met la singularité de votre entreprise et votre personnalité en exergue. Ainsi, il permet à votre projet de se différencier face aux concurrents.
Aussitôt que vous connaissez les tenants et les aboutissants de la création d’un logo, vous êtes prêt à passer à l’action.
Vous êtes à la recherche d’une personne pour la création de votre logo, ou vous avez simplement des questions, n’hésitez pas à nous contacter, nous serions ravis d’approfondir le sujet avec vous et de vous offrir notre savoir-faire.